Depotoir a textes (edit: sujets fusionnés ;))

[Sunsh]

Bonne idée.

[Invité]

Oh, trop bonne idée. Y'a longtemps, j'avais écris une histoire qui parlait d'un chien qui avait perdu son maître mais ce chien savait parler. Il se passait alors de droles et bizarres choses. Enfin, je ne l'ai plus dans mon ordi.

Peut être plus tard... Quand j'aurais completmeent fini ma p'tite histoire du moment. Enfin, je n'ai fais que le debut et je suis longue à en écrire une.

[Adalie]

Bon allez j'poste ici... C'pas terrible du tout, en fait j'suis même consciente que c'est complètement naze ce que j'ai fait, mais après tout, autant le soumettre à la critique, si jamais ça peut permettre de progresser... J'demande donc leur avis à celles qui auront le courage de lire mon p'tit grifonouillage :/

PASSAGE VERS L'AUTRE MONDE

De toute façon, ce matin là, j’ai bien senti qu’elle essayait de me chasser. Elle, et l’homme avec elle, cet homme en blanc qui lui donnait des ordres, qui lui criait dessus pour son bien, même si ça faisait mal. Ils voulaient que je parte de là. Et vite.
Alors j’me suis décidé.

C’était pas facile, tu sais. J’y étais bien. Mais il le fallait. C’est pour ça que j’me suis lancé. Elle aurait fini par en souffrir trop sinon. Elle… Elle qui m’avait tenu en sécurité pendant tant de temps. Il fallait que je la libère. C’est bien d’être au chaud, logé et nourri pendant des mois et des mois. Je sais qu’elle appréciait, que c’était un plaisir partagé. Mais ça ne pouvait pas durer éternellement. Dans le fond, j’étais aussi un poids pour elle. Je vivais à ses dépends, je me raccrochais à la moindre de ses respirations, au moindre battement de son cœur. Je vivais par procuration, je l’écoutais me raconter ses histoires, je mangeais ce qu’elle mangeait, je dormais quand elle dormait. Ma vie, c’était la sienne. C’est simple, sans elle, je n’étais rien. Sans elle, il n’y avait pas de moi. Mon monde se résumait à elle. Il n'y avait qu'elle, juste elle, et encore elle. Je la connaissais depuis si peu de temps, mais je l'aimais déjà comme un fou. Et puis, elle avait fait tant de sacrifices depuis que j’étais arrivé dans sa vie. Elle avait renoncé à tellement de choses qui lui tenaient pourtant tant à cœur avant. Elle avait du réorganiser son temps, à cause de moi. Elle avait même refait un bout de son "chez-soi", décoré les murs en pensant à moi, puis elle l’avait contemplée en me murmurant « Tu verras, ici ça sera ton endroit ».
Du coup, tu comprends, je lui devais bien ça.
Alors pour elle, j’ai pris mon p’tit courage à deux mains, mon p'tit courage d'homme qui n'en est pas vraiment un. J’l’ai empoigné de mes minuscules doigts, ce p’tit courage de rien du tout, mais qui allait me permettre de donner un sens à mon existence. J’t’aurais bien dit que j’avais respiré un grand coup avant d’y aller, mais c’est faux, j’avais –forcément- le souffle coupé. Ca serait un moment difficile, et pour elle, et pour moi. Comme toute séparation, sauf que celle là serait particulièrement douloureuse.
Mais j’ai quand même osé, comme tellement d’autres avant. Comme d'autres qui viendront. J’ai fait ce geste qui allait faire de moi un homme, un vrai, et abréger ses souffrances. Par amour pour elle. Par curiosité? Oui, peut etre aussi.
Alors oui, j’ai osé. Je me suis rendu petit à petit, discrètement, vers l'Ailleurs, vers cet avenir où nous ne serons plus jamais aussi fusionnels, elle et moi.

Et là j’ai découvert.

J’ai eu peur.
Ca ne ressemblait pas au peu de choses que j’avais déjà connu. C’était tellement beau, et pourtant tellement effrayant. A la fois poignant et terrifiant. A la fois doux et saisissant. Je sentais l’air autour de moi, les sons, les sensations… Comme une avalanche. Tout se bousculait. Tout. Tout autour de mon pauvre petit crâne. Avais-je vécu anésthésié, blotti contre sa peau? Là, c’était le « dehors », le monde. L’inexploré. Là où je devais aller. Là où ma vie allait vraiment commencer. C’était l’endroit où je grandirai, où je m’épanouirai. C’était là où j’apprendrai, aussi. Là où petit à petit je saurais me passer d'elle, là où peut etre j'en arriverai un jour à ne plus vouloir d'elle près de moi.
Là où je deviendrai.
C’était là où les arbres poussaient, où les toxico fumaient, où des hommes suaient au travail, où des femmes se faisaient tuer, où des gens se rencontraient, où des liens se tissaient, où les canettes de coca étaient fabriquées, où l’on gagnait au Loto, où on regardait la télé, où on organisait des soirées… J'allais connaitre autre chose que la chaleur et la douceur de cet endroit où j'étais arrivé il y a si peu de temps, mais dans lequel toute ma vie était inscrite. Dehors, c’était le monde quoi, la vraie vie.
C’était tout simplement l’Inconnu.
J’avais si peur…

Mais j’suis parti quand même.

On m’y a forcé, je l'avoue. Je n’ai pas pleuré au début. J’avais les yeux grands ouverts. J’disais rien. J’voyais rien mais j’observais quand même cet univers autour de moi.
Ca a duré ¼ de seconde.
Ca m’a semblé une éternité.

Et c’est à ce moment précis qu’on m’a frappé.
Une tape sèche, vive, histoire qu’un cri transperce ma gorge et que mes yeux se noient de larmes.
Un homme qui pleure, on dit toujours que c'est rare, mais tu sais, tout le monde passe forcément par là.

J’comprenais pas ce qui se passait.
Pourquoi?
Inconsciemment, j’ai fait ce qu’ils attendaient. J’ai pleuré, c’est tout ce qu’ils voulaient, tu vois. J’ai senti l’air entrer dans mes poumons, violemment, comme ça, d’un coup. Je pleurais. Je hurlais. Je vidais ma chair de tout le souffle qui la secouait. Eux, ils souriaient. Ils étaient plusieurs autour de moi. Autour de mon pauvre petit corps étendu, tout rouge, qui se crispait et se tordait dans tous les sens. Elle était là aussi, elle, forcément. Elle était aux premières loges, elle avait mal, je le sais. Très très très mal. Mais elle était heureuse quand même. J’étais enfin dehors. Je n'étais plus une partie d'elle. Ce lien physique qui me retenait à elle s’était rompu. Elle me regardait me démener, avec un air apaisé. Moi, je ne voyais rien. Une intense lumière m’aveuglait. J’étais serré entre deux énormes mains.
Je pleurais, je pleurais, je pleurais.
Et eux, ils souriaient, ils souriaient, & ils souriaient.
A croire que ça leur faisait plaisir.

« Félicitations, c’est un petit garçon. »
L’homme en blanc s’était tourné vers elle. Elle…
Maman.

[Azealen]

Ohlalala j'adore ton texte Mateeld

[Invité]

Mateeld c'est pas mal

[Sunsh]

Oh une nouvelle à chute! J'aime beaucoup la chute justement.
En plus tu as bien respecté les consignes qu'un auteur doit respecter pour présenter une réelle nouvelle à chute. C'est court et il y a des fausses pistes partout, pour nous prêter à confusion. Mais lorsque l'on relit le texte en connaissant la fin, on se dit: " ah ouii, c'est evident!"

[Invité]

J'aime bien Mateeld!

[Runaway]

Tiens moi j'ai tout de suite trouvé ça évident, du coup la chute ne m'a pas du tout surprise (ce qui m'aurait drôlement surpris c'est que ce ne soit pas ça vu que j'en étais vraiment persuadée) mais j'aime bien quand même

[Adalie]

Oh ben merci merci les filles pour tout ça!
J'en étais très déçue d'ma chute justement J'ai du mal à m'y prendre.
Merci encore ;)

Au tour de quelqu'un d'autre?

[Invité]

Édité

[Sunsh]

Non non il n'y a pas de fautes. Et j'ai beaucoup le texte. On ne sait pas trop ce qui l'attaque mais c'est réellement bien ecrit et le vocabulaire est riche.

[Narcisse]

J'écris un petit peu, mais j'ai du mal à achever mes histoires.

[Invité]

Bon c'est un truc vite fait, si vous comprennez pas tout, je me facherais pas lol.

Frigo, boulot, dodo est mon quotidien.

Dans mon lit une place, aussi solitaire que Tom Hanks sur son île, je fais le bilan de ma vie : un job minable, une femme inexistante, un chat schizophrène et un lapin rose pour meilleur ami.

Comme tous les matins je me lève en chanson, je n’ai ni chaîne hi-fi, ni poste de radio mais des mélodies se mettent en route dans ma tête sans que je puisse les contrôler. Pour mon petit déjeuner je me prépare une pâtisserie minute à réchauffer, alors qu’un air de Dick Dale me fait danser comme un mec de boys band une odeur de grillé me monte au nez, un peu plus et un feu se déclarait, satanées mélodies !

Mon petit déjeuner fichu je décide de passer au « café du coin » me prendre un petit expresso, histoire de tenir le coup pour ma journée et en même temps j’espère au fond de moi que je verrais Catalina.
Catalina est serveuse au « café du coin », si je connais son prénom c’est parce qu’il est écrit sur son badge, je ne lui ai jamais parlé que pour lui demander un café ou des brownies. Je ne la connais pas mais je crois que je suis amoureux d’elle car mon cœur bat la chamade lorsque vient mon tour à la caisse.
Pour ne rien arranger un rythme vient s’accorder au battements de mon cœur :

(you’re all.. I need.. to get by)

-« Bonjour, qu’est que je vous sers? »

(Like the sweet morning dew, I took one look at you, and it was plain to see, you were my destiny)

-« Monsieur? »

Qui sait combien de temps j’avais passé à la regarder sans rien dire lorsque je repris mes esprits.

-« Un expreto.. expresso s’il vous plait. A emporter. »

Non seulement je passe pour un siphonné devant Catalina mais en plus je renverse mon café sur moi en sortant !

Mon job, ah je suis cobaye pour la science, parfois il m’arrive d’avoir quelques effets secondaires pas beaux à voir mais c’est le seul moyen que j’ai trouvé pour payer mes factures et à manger. Et puis je n’aime pas tricher et demander un filon à ma mère. Ma vie n’est pas une vie de rêve mais au moins je suis un sims indépendant.

La journée de boulot terminée mon chat Rufus vient me faire la fête, je l’ai appelé Rufus car il refusait de répondre à tout autre nom, il se prend pour un chien, j’ai bien essayé de lui faire comprendre qu’il était un félin mais il ne m’a pas cru.

Dans mon fauteuil bon marché, devant Youpi TV, je pense à Catalina, à mon job de cobaye, à mon chat Rufus et au gros lapin rose qui squatte chez moi et j’ai envie de crier :
« J’ai besoin d’aide ! »

(I’m calling youuuu)

[Invité]

Non non il n'y a pas de fautes. Et j'ai beaucoup le texte. On ne sait pas trop ce qui l'attaque mais c'est réellement bien ecrit et le vocabulaire est riche.

Merci! En fait, moi non plus je ne sais pas trop qu'est-ce qui l'attaque. Et excellent ton texte Albicocca, ça me fait penser à moi des fois le type de ton histoire.

[Adalie]

Yeaaah les fiiillles =D J'adore vos textes!
Blietzkreig j'ai TROP envie de savoir la fin, ça fait marcher ma p'tite tete
Et puis Albiocca, l'idée d'insérer des paroles de chansons j'trouve ça génial.

[Ran-Neechan]

J'ai adoré ton texte Mateeld. Et bon la chute pour moi était un peu évidente aussi, mais elle est quand même bien faite.
Les autres aussi étaient bien, hein xD.
Xd le perso d'Albicocca il est cobaye quoi , donc du coup ilm me fait aussi penser à moi xD
Blietzkreig, je voulais te dire que ce t'as écrit là m'a...transportée. Je trouve ton écrit très beau, très touchant. Et tellement bien écrit, en fait. La façon dont tu écris me rappelle celle d'un ami à moi ( et c'est un énorme compliment en fait que ej te fais là xD parce que cet ami, pour moi c'est le Dieu de l'écriture ;) ) et du coup bah...je sais pas tu vois. Nan franchement, chapeau.

[Ran-Neechan]

Bon alors moi, c'est un texte que j'ai écrit y'a bientôt trois ans et je l'ai pas retouché. C'était un devoir à la base, mais je n'ai jamais été très scolaire. Et le prof avait aimé même si c'était pas du tout ce qui avait demandé.
Je ne lui trouve rien d'extraordinaire, mais il parle d'un amour qui traverse la mort, et je trouve ça quand même beau. Sinon je l'aurai pas écrit, logique xD
Désolée si y'a des fautes :s
...




Les ramées sèches et mortes, s’écrasent sur le sol dans un soubresaut éthéré.
Elle marche , sur ses feuilles enlaidies par les nombreux pas qu’elles ont pu conditionner.
Il est à deux foulées, plutôt quarante cinq minutes de marche. Mais la notion du temps, l’a t’elle seulement ?
Cela fait environ trois ans. Même trajet, même but.
Mêmes regrets.

Mains pressées l’une contre l’autre, le regard à terre….Toujours cette démarche naturellement nonchalante depuis plus de dix ans.
Elle pèse juste plus, en même temps que le regard des autres sur elle.

« Lena, je t’aime »

Elle l’entend, elle le rêve sûrement.
Cet écho. Il l’obsède. Il l’écœure. Il la frappe. Comme un coup de couteau, qu’on s’amuserait à planter, puis à faire glisser en poussant très fort, partant de la poitrine et finissant par se loger dans l’utérus.
Cet écho. Elle l’aime. Il l’a fait vivre.

Il l’a quitté. Elle le hais.
Elle marche. Cela fait dix minutes qu’elle marche et déjà, elle a mal aux pieds. Elle a mal aux jambes. Elle a mal au ventre.
Aujourd’hui, c’est pire que les visites de d’habitude. Les jours normaux, elle n’a pas ce sale sentiment de culpabilité.
Les jours normaux, Lena a mal.
Les jours normaux, elle fait avec.
Elle va passer devant ce lycée. C’est le lycée où ses sœurs ont réussies leurs études. C’est le lycée où elle n’a pas été, de peur de tout rater. C’est le lycée qui l’aurait sauvé.


Il fait si froid. Elle a froid, partout. Je crois qu’elle ne le sent pas.
Je marche à côté d’elle. Elle ne le sait pas pourtant.
Elle est si… ailleurs.
Octobre 2005. Ce lycée n’est pas vide. Au contraire.
Mais elle, ne voit personne. Elle est vide, et ce qu’il y’a autour d’elle n’existe pas.
Il n’y qu’une chose existante à ses yeux : lui.
Jean. Elle t’aime Jean. C’est son amour pour toi qui la fait vivre !

Par contre ,elle, tout le monde la voit. Ils la critiquent, tous. Ce sont des imbéciles, des gens très cupides et pervers. Son apparence.. Tout le monde en parle.
Cependant, personne ne sait.
Moi je sais, puisque Lena je la connais. Je la connais même très bien.
Je connais tout d’elle, ce qu’elle rêvait, ce qu’elle aimait, ce qu’elle espérait, ce qu’elle redoutait. Tout ce qu’elle voulait.

Vingt minutes maintenant. Le parc. Cet horrible parc. Il gronde de pervers, de ce que l’on appelle communément des putes, des clochards, des drogués…
Tout ce qu’elle pense être. Elle se hait.

« Lena je t’aime »
…

Elle se gratte la tête. Envie. Envie de se sentir au dessus.
Envie de drogue. Envie de planer. Envie de toi. Jean. Envie de mourir à cause de toi.

Tu ne te rends pas compte, toi.
Moi je la vois, elle me fais peur. Elle fait peur à tous.

Elle passe l’épreuve du parc, mieux qu’avant.
Les pervers ne l’ont pas interpellée, c’est tellement laid une fille pareille.
Les prostituées ne l’ont pas insultée, elles n’en ont plus envie.
Les clochards ne lui ont pas demandé d’argent. Elle paraît être aussi démunie qu’eux.
Les drogués ne font jamais chier personne. Juste eux, sans le voir.

Le bas de son futal racle le sol. Elle n’a même pas la force de se baisser pour le retrousser.
Elle est si faible. Je voudrais le faire pour elle, mais je ne peux pas.
C’est ta faute. Jean. Tu aurais du insister

Encore dix minutes et elle y sera. Il lui faut passer devant tant de monde. Tant de regards.
Tant de pollution. Tant de haine. Tant de choses dégueulasses.

Elle les hait. Elle les hait autant qu’elle.
J’ai mal Lena. Je souffre de tant de haine et de souffrance en toi.
Pourtant tu es vide.

Elle l’aperçoit.
Lena n’espère pas, aujourd’hui n’espère pas. Tu ne vas pas te réveiller. Ce n’est pas un rêve.
C’est la vie. C’est comme ça.

Elle pousse le portail. Grincement strident.
Le même qu’il y’a trois ans. Exactement le même.
Elle avance, dans ses horribles petits sentiers. Ils font peur.
Lena pourquoi…arrête.

Il y’en a plein, partout. Des herbes folles sont accrochées sur son nom.

« Non !!!!Non !!!Non !!! »

Elle crie, elle les arrache. C’est de toutes ses forces qu’elle hurle.

« Pourquoi !…. Putain de lierre !! »

Elle s’affale sur ta tombe. Je ne sais pas quoi faire.
Je m’appelle Ingrid ,j’étais sa meilleure amie.
Je me souviens. Je sais. Je ressens. J’ai gâché trois vies.
Jean. Lena. Et moi.
Ce soir là, on fêtait mes dix huit ans. Je m’en souviens bien !
Tu avais treize ans Lena. Jean, dix sept. On était partis en boite.
J’étais ivre. J’étais droguée. J’étais tellement de choses ce soir là !
Tu avais peur de monter en voiture. Très peur. Alors tu as demandé à Jean de conduire.
Il ne se sentait pas très bien, il a voulu rester à l’arrière avec toi, en amoureux.
Il a détaché sa ceinture pour te prendre dans ses bras parce que je conduisais un peu n’importe comment et tu pleurais.
Je n’ai pas vu la voiture. Je t’assure, je donnerais tout ce que j’avais pour l’avoir vue.
On a percuté. Et plus rien.
On m’a condamnée à te voir, jour et nuit, toi qui a survécu.
Condamnée à te voir lentement mourir.

Condamnée.

« Jean je t’aime ».

Elle te l’a dit.

Elle embrasse ta tombe. Elle pleure.
Son seul sentiment : son amour pour toi.

[Invité]

Merci les filles

Blitzkreig_Bop : C'est vraiment bien, mais hélas trop court!

Osaki j'aime beaucoup ton texte

[Ran-Neechan]

Merci Albi

[Invité]

Waw, Osaki !

[Invité]

C'était ma première histoire que j'ai composée et j'ai hésité avant de la poster mais merci beaucoup les filles. Osaki, ton texte est très (trop?) touchant, j'ai vraiment ressenti toute l'émotion qu'il y avait dans ton texte tellement je l'ai trouvé bien écrit et je dois avouer que j'ai eue la larme à l'oeil.

[Adalie]

Osaki... waouuuh. Rien d'autre à dire, j'aime énormément, t'as du talent! (Quand j'parle wesh, c'est signe que j'kiffe vraiment vegra. Et puis aussi signe que j'savais pas trop quoi dire après avoir lu ça). Ecris un livre, et tu me feras surement mourir déshydratée d'avoir trop pleuré, y a déjà beaucoup d'émotions dans peu de lignes. Je m'avance peut etre beaucoup, parce qu'on se connait pas, mais j'ai l'impression qu'il y a un peu de toi dans le personnage de Léna. C'est l'impression que ça me fait en tout cas.

[Sunsh]

Dis Osaki, c'est magnifique mais je crois, je pense que c'est tiré d'une histoire vraie, la tienne ? Ou alors pas du tout. Mais le texte n'en reste pas moins beau.

[Ran-Neechan]

Pas du tout. Ou si elle ressemble à mon histoire, c'est vraiment compliqué en fait. C'est plutôt de l'abandon dont j'ai souffert et pas de la mort... Mais bon en tous cas qu'est ce que je peux dire à part merci moi xD.
Je susi contente si ça vous as touchées

[Invité]

C'est bien de savoir transmettre l'émotion dans ses textes!

Personne d'autre n'écrit?

[Adalie]

Plus pour l'instant apparemment.

[Ran-Neechan]

Erf :/ c'est dommage

[Ran-Neechan]

Mateeld Albicocca et Blitzreig z'avez rien d'autre ( en manque quoi xD j'ai envie de vous lire :o )

[Invité]

Euh...c'est la seule et unique histoire que j'ai écrite, le reste ce ne sont que des poèmes. Mais si quelqu'un veut bien me donner des idées, je suis preneuse.

[Neverland]

Moi j'aurais pas le courage de poster mes histoires ici.. lol.

[Invité]

J'ai recherché dans les archives et j'ai retrouvé une trés vieille histoire que j'avais faite, je devais avoir 11 ou 12 ans lol et j'étais fana de Buffy. Du coup j'ai commencé à écrire un épisode
Je vous le mets en exclu mdr, faites pas attention aux fautes, j'étais petite!

En arrivant au lycée, Buffy eu la surprise de voir qu'il y avait un nouvel élève dans sa classe, il s'appelait Fox Bottom. Cordellia lui avait déjà mit le grappin dessus, il était maintenant inutile d'essayer de s'approcher de lui. Giles arriva a grandes enjambées vers Buffy et l'emmena dans la bibliothèque où il lui dit que l'apocalypse n'était pas loin. Un être du mal venait d'arriver en ville:
BUFFY:"personne ne sait comment il s'appelle, ni ce qu'il vient faire dans notre petite ville.
GILES: écoute Buffy, tout ce que l'on sait, c'est qu'il est là pour accomplir, ce que j'appellerais...
BUFFY:la fin de notre jolie planète, ouais, je sais, et bien sur, il faut que ce soit moi qui l'en empêche !
GILES: oui, c'est a peu près ça !
BUFFY: bon, et il ressemble a quoi ce vilain garçon !
GILES: eh, bien je pense que c'est un vampire, mais rien de vraiment certain"
A ce moment là, Alex et Willow entrèrent dans la bibliothèque:
WILLOW:"bonjour Buffy !
BUFFY:ça va Willow, t'as vu qu'il y a un nouveau dans la classe, plutôt pas mal, non ?
WILLOW:ouais, tu sais moi...
ALEX:il est pas si bien ce gars et en plus Cordellia est déjà sur le coup !
BUFFY:et alors, ce n'est que Cordellia !
GILES: bon, je ne voudrais pas vous presser mais l'horloge a déjà sonnée.
Fox était assis a cote de Buffy et comme il avait l'air de s'ennuyer, il lui envoya un bout de feuille arrachée de son cahier, il y était écrit :"moi je m'appelle Fox ou Foxi comme tu veux, et toi c'est quoi ton p'tit nom ?"
Buffy eu un instant envie de ne pas lui répondre mais elle lui écrivit :"moi c'est Buffy ou Summers(mon nom de famille)."
A la sortie de classe Alex, Buffy et Willow était en train de s'en aller quand une voie se fit entendre, c'était Fox, il appellait Buffy. Elle se retourna, et il s'avança vers elle:FOX:"alors c'est ça ton prénom ,c'est pas mal !
BUFFY:merci,FOXI !!!
FOX:bon, j'aurais voulu savoir si tu étais libre ce soir, on fait une petite soirée avec des potes pour le premier jour, ça te dit ?
BUFFY:ouais, pourquoi pas mais avant j'aurais un truc a faire, en fait je sais pas ,j'suis pas sur, peut-être !
FOX:ok, mais je te donne quand même l'adresse, tiens mon numéro, allez salut !
BUFFY:bye !"
Elle passa voir Giles avant de s'en allez faire sa ronde, dans la bibliothèque, elle prit de quoi se défendre, un pieux et un crucifix. En arrivant au cimetière, elle sentit une présence, c'était Angel
ANGEL:"bonsoir Buffy, comment vas tu avec cette histoire d'apocalypse ?
BUFFY:tiens Angel, maintenat, je ne te vois plus que quand un danger s'approche de la ville, mais je te remercie, je vais très bien et d'ailleurs ne me retiens pas trop longtemps je suis invitée a une fête, alors excuse moi, mais au revoir !
ANGEL:Buffy attends, si tu ne me vois plus ses temps ci, c'est parce que, nous deux ça ne plus continuer comme ça, j'ai deux cent quarante ans et toi tu n'es qu'une adolescente, écoute je ne veux pas te faire de mal .C'est vrai que j'éprouve des sentiments pour toi mais tu ne sens rien, quand tu m'embrasses, Buffy, je suis mort !
BUFFY:tu sais ce que j'éprouve quand je t'embrasse, moi, hein, eh bien moi c'est de l'amour....Au revoir Angel !"
Quelques minutes plus tard, Buffy était a la fête de Fox
BUFFY:"bonsoir Foxi ,dis donc ta fête, elle est plutot privée non, nous ne sommes que tous les deux !
FOX:en fait, je voulais te parler. Voilà, quand je suis arrivé, ce matin, j'ai flashé sur toi et je voulais te connaître un peu mieux, grace a cette soirée, tu comprends ?
BUFFY:oh, oui, je comprends très bien, mais dis toi bien que tu ne m'intéresse pas, alors tente rien !
FOX:mais non, je plaisante, c'est vrai que tu es très belle mais les copains ne sont pas encore arrivés, alors la fête n'est pas encore commencée, tu sais, faut pas que tu es peur de moi, je suis gentil.
BUFFY:ah, bien sur, j'suis bête, excuse moi !
FOX:c’est pas grave mais par contre, il faudra que je te dise quelque chose.
BUFFY:bien sur, tiens, c'est pas ta sonnette ça ?
FOX:yep, j'y vais !
La fête venait de se terminer et il ne restait plus que Buffy et Fox:BUFFY:euh, Foxi ?Tu m'as dit tout a l'heure que tu avais quelque chose a me dire.
FOX:oui, mais, ça peut attendre. Je vais te raccompagner, je ne voudrais pas qu'il t'arrive quelque chose en revenant de chez moi !
BUFFY:t'inquiètes je sais me défendre.
FOX:oui, peut etre, mais tu sais, tu peux peut être te faire attaquer par ,disons, un.....vampire, tiens, on sait jamais.
BUFFY:quoi, un quoi, qu'est ce que t'as dit ?
FOX:bon allez, je te ramènes.
BUFFY:bon, d'accord, mais t'as dit un quoi ?
FOX:j'ai rien dit ,aller dépêche toi !"
Ils allèrent tous deux jusque chez Buffy et en arrivant, Fox prononça juste un petit "au revoir" et il s'éclipsa.
Le lendemain, Buffy arriva un peu en avance au lycée et elle alla voir Giles
BUFFY:"je crois que j'ai trouvé notre être du mal !
GILES:ah, oui, et qui est-ce ?
BUFFY:je pense que c'est Fox Bottom !
GILES:non Buffy, je ne pense pas, regarde ce que j'ai trouvé.
BUFFY:qu'est ce que c'est ?
GILES:c'est le livre des élus, ceux des temps anciens et ceux des temps modernes.
BUFFY:et alors ?
GILES:et alors regarde a la page cinq cent cinquante et un, et lit la colonne treize.
BUFFY:très bien, j'y vais:"reconnu pour être l'un des plus grands tueur, Fox Bottom est celui même qui pourra faire taire l'apocalypse..."mais Giles, oh mon dieu !
GILES:eh oui ,il est lui aussi élu, il est apparemment là pour t'aider a vaincre ce nouveau démon.
BUFFY:je comprends maintenant ce qu'il a dit hier, il faut que je lui parle !"
La cloche venait de sonner, quand Willow et Alex arrivèrent. Buffy leur dit qu'elle n'avait pas le temps et fonça en cours. Quand elle arriva ,elle vue que Fox n'était pas là, dehors, une ombre dans le ciel commençait a se former. Elle comprit que le démon arrivait !
Elle retourna a la bibliothèque et commença a questionner Giles
BUFFY:"normalement, les démons attaquent la nuit, non ?
GILES:oui, mais il va attaquer cette nuit, là il commence son attaque. Fox doit déjà être sur les lieux, mais le démon ne sortira que cette nuit. Trouve Fox et dit lui qui tu es, ensuite emmène le ici et cherchez une solution pour ce soir !
BUFFY:très bien, mais Giles, où est Fox ?
GILES:il doit être dans les égouts, près de Thelby Street."
Buffy partie immédiatement a sa recherche. Elle arriva quelques minutes après dans une petite ruelle où la bouche d'égouts était ouverte, elle y descendit et vit Fox allongé, il était apparemment assommé.
Buffy lui mit quelque gifles, et il se réveilla
FOX:Buffy, mais qu'est ce que tu fais ici, c'est dangereux,vas-t'en !
BUFFY:je sais qui tu es Fox, mais toi tu ne sais pas qui je suis.
FOX:ah, ça y est, toi tu es le démon et moi le tueur, c'est ça. Eh,bien, allons y, si t'es là pour te battre, battons nous !
BUFFY:mais non, tu n'y es pas du tout. Moi aussi je suis une tueuse et il paraît enfin, c'est ce que disent les livres, bref, tu serais là pour m'aider a vaincre le nouvel être du mal.
FOX:ah, ouais, toi aussi t'es une tueuse !Bon ,mon observateur m'avait dit qu'il y avait quelqu'un d'autre mais je ne pensais ni a toi, ni a une fille !
BUFFY:tu sais,on sais se défendre aussi bien que vous. Mais, il parait que tu es très fort, et que c'est toi qui a envoyé les vampires dans notre ville parce qu'ils avaient peur de toi!
FOX:tu sais, c'est Spike qui est arrivé, il est pas si fort !
BUFFY:oui, mais maintenant, c'est lui que tout les vampires suivent !Au fait, c'était quoi le nom de ta ville et c'est qui ton observateur ?
FOX:la ville où j'étais s'appelle Fromies et mon observateur, enfin, mon observatrice, c'est Tarane, une femme, tu vois les femmes sont aussi fortes que les hommes ! Apparemment, Giles et elle se connaissent, mais elle ne veut pas m'en parler !
BUFFY:bon, il faut qu'on retourne a la bibliothèque pour trouver une solution pour ce soir !
FOX:tu as raison, allons y !"
Il se mirent donc en route et allèrent a la bibliothèque. Là, ils commencèrent a discuter !
FOX:Comment as tu réagis, quand on t'a dit que tu étais une chasseuse?
BUFFY:Tout d'abord, j'ai été surprise. Moi, Buffy petite collégienne était choisie pour combattre! Cela m'a plutôt surprise et puis je m'y suis faite !Et toi, tu l'as su quand ?
FOX:ah, moi ?C'est mon pere, il baigne dans les vampires depuis son adolescence et il avait été élu par le conseil, aujourd'hui, il est mort et j'ai pris le relais .
BUFFY:désolée pour ton père...
FOX:ouais, bon, n'y aurait-il pas un démon qui menace cette ville ?
BUFFY:oui, c'est vrai ,tu as une idée ?
FOX:a vrai dire, non. Moi, j'improvise toujours. Alors on va le voir, on lui fait sa fête et on rentre, c'est pas une bonne idée ?
BUFFY:si, en fait c'est une super idée, si,...,si t'as envies de mourir !!!
FOX:non, j'ai pas envies de mourir mais qu'est ce que tu veux faire, dis moi tout !
BUFFY:bon, bah, ton plan est génial, allons y .
Ils repartirent donc aux égouts et commencèrent leur avancée dans le noir.
FOX:Buffy, il vaut mieux que tu restes derrière moi, ok?
BUFFY:non mais tu me prends pour qui, j'suis pas une femmelette!
FOX:c'est vrai, s'cuse t'es juste une femme...
BUFFY:ouais, bah c'est bon là, arretes toi maintenant on va se faire repérés avec tes super blagues!
FOX: Par là, il y a quelque chose, suis moi!
Ils avancèrent et tombèrent nez a nez avec un serpent a 3 têtes.

Et voila ça vous a plu? lol C'était long un peu quand même! Je l'ai jamais fini. Et l'idée d'un deuxième tueur je l'avais eu avant que l'épisode ou la deuxième tueuse arrive dans la série, j'ai des tendances devin!

[[Innocence]]

Osaki, ton texte est magnifique !


Un début d'histoire, pour moi écrire est une manière "d'exorciser", mes récits sont donc proches la réalité, de ma réalité et il en ressort quelques confusions.


Elle leva vers les yeux vers lui, ces grands yeux bleus étaient noyés de larmes, elle ne pouvait masquer son incompréhension. Il l'abandonnait, elle, qui aurait tout donner pour lui. Aucune de ses explications ne paraissait cohérente. Comment pouvait-il lui faire ça ? Elle l'avait espéré tout ce temps, elle avait patiemment attendu, elle avait tout supporté venant de lui, elle aurait tout fait pour lui...Lui, qui ne valait pas mieux, finalement, que tous les hommes qu'elle avait rencontré juste là, juste meilleur acteur que certains. Parce qu'elle y avait cru à leur histoire, il avait su se montrer persuasif. Il faut dire qu'il n'en faut pas beaucoup pour qu'elle tombe dans le panneau, quelques compliments, des sourires en coin, des allures de Prince Charmant et son coeur était conquis. Elle, jeune fille de 17 ans, fleur bleue, rêvait encore de l'homme parfait, celui que l'on voit dans les films, celui qui finit toujours par épouser l'héroïne. Mais tout ceci était fini désormais, ils resteraient amis, cela valait mieux pour eux, c'est en tout cas ce qu'il pensait. Et puis après tout, elle n'avait pas son mot à dire, il était désolé, c'était déjà bien suffisant !

Elle rentra chez elle, s'efforçant de masquer son désarroi à sa famille. Repenser à ce qui venait de se passer était suffisament difficile pour qu'elle ne veuille pas avoir à s'expliquer. Elle n'arrivait pas à y croire, elle l'aimait tellement, d'un amour qu'elle n'avait jamais éprouvé pour personne, depuis qu'elle le connaissait elle espérait secrètement qu'il s'intéresse enfin à elle...Finalement, c'était arrivé, ça avait duré une journée, une seule pauvre journée, et puis tout avait été terminé.

Et puis, la vie a continué son chemin. Une semaine passa, elle pensait toujours autant à lui, dès qu'elle ouvrait les yeux ses premières pensées lui était destinées. Elle le croisait au lycée, au début il l'avait évité et puis tout était redevenu « normal », ils étaient amis, c'est en tout cas ce qu'il pensait.
Tristement, elle lui faisait la bise, s'efforçait de lui parler comme si elle ne mourrait pas d'envie de l'embrasser, ne pouvait s'empêcher de lui jeter quelques regards de temps en temps...

[Adalie]

J'aime bien Albicocca Alors que pourtant je n'ai jamais regardé Buffy mais j'vois bien ce que t'as écrit passer à l'écran.

Innocence, même si c'est tiré de ton cas personnel, j'pense que pas mal de filles peuvent se reconnaitre dans cette situation. C'est simple, touchant, réaliste, j'aime bien aussi =)

[Invité]

Merci Mateeld

Innocence, j'aime bien ton texte aussi, mais il me dérange dans le fait que je me met à la place de la fille et ça me fait tout drôle, j'imagine la douleur brr!

[[Innocence]]

Innocence, même si c'est tiré de ton cas personnel, j'pense que pas mal de filles peuvent se reconnaitre dans cette situation. C'est simple, touchant, réaliste, j'aime bien aussi =)

Innocence, j'aime bien ton texte aussi, mais il me dérange dans le fait que je me met à la place de la fille et ça me fait tout drôle, j'imagine la douleur brr!

Merci pour vos commentaires, c'est la première fois que j'expose mes écrits à une critique donc j'appréhendais un peu...
Albiccoca, je comprend le côté "dérangeant" de mon récit, comme je le disais, c'est inspiré (le début en tout cas) de mon vécu et la douleur est toujours présente à mon esprit, cela doit se ressentir dans mon écriture.
C'était seulement un début de récit que j'ai commencé il y a peu, je viens d'écrire une petite suite que je vous fait partager (et je vais essayer de rendre les choses un peu plus joyeuses dans quelques temps) :

Cela faisait maintenant 10 jours qu'il lui avait annoncé qu'il préférait qu'ils restent simples amis. Ce soir, une fête était prévue, il serait présent, forcément, jamais il ne ratait une occasion de s'amuser. Elle aussi serait là, c'était une de ses amies qui organisait la soirée. L'alcool coulait à flot, la plupart des invités étaient déjà émêchés alors que la fête venait à peine de commencer. Elle avait pris la décision de ne pas boire ce soir là, elle se souvenait de trop de soirées qui c'était mal terminée. Pendant toute la soirée, elle s'est sentie à l'écart des autres, elle n'arrivait pas à s'amuser, sa tête était ailleurs et puis arriva ce qui devait arriver un jour ou l'autre, il décida de ne pas rester célibataire plus longtemps. Sur un slow, « son » slow (Still Loving You des Scorpions), il embrassa une de ses amies à elle. Son monde s'écroula. Secrètement elle espérait encore qu'il revienne sur sa décision, qu'il s'aperçoive qu'il s'était trompé, qu'elle était la femme de sa vie. Mais à l'instant où il posa ses lèvres sur une autre, elle comprit. Jamais ils ne pourraient être plus que des amis. Elle eut l'impression que son coeur se brisait litéralement en milles morceaux, elle eut la sensation que plus jamais elle n'arriverait à être heureuse. Et en même temps que son coeur se brisait, des larmes coulèrent discrètement sur son visage. Personne ne les remarqua, c'est en tout cas ce qu'elle pensait.

[Little_Red_Girl]

Disons que ce n'est pas vraiment une histoire, c'est ce qu'il me passe par la tete par moment ou autre, et que je vide pas l'écriture! Voila un extrait :



08/04/2008


Je ne sais pas par où commencer ? Et comment structurer toute la merde qui me passe par la tête ? pourquoi le besoin d’écrire, juste pour soulager mon cerveau sans doute ! Je n’ai jamais été quelqu’un de rangé, je suis bordélique ! oui c’est bien pour ça que je ne veux pas du tout structurer mes écrits parce que bon, à quoi ça sert ? D’ailleurs pensées philosophique, hm après tout je ne sais pas si c’est vraiment philosophique ! Quand je repense à mes cours de philo, je me demande encore qu’est-ce que c’est ? Pourquoi va-t-on dire qu’un tel détient la vérité, tout ça parce qu’il a écrit ce qu’il PENSAIT ! Bref c’est un peu complexe tout ça ! Je ne sais pas mais moi je me rappelle que mon prof de philo si on n’allait pas dans son sens, c’était une mauvaise interprétation, pas philo… Hm je ne sais pas mais moi la philosophie, c’est ce qu’on pense, c’est un recul par rapport à tout ce qu’on vit… Alors comment peut-on juger une réponse à une question tel que « la liberté est-ce ne rencontrer aucun obstacles ? » (question que j’ai eu au bac soit dit en passant) et puis souvent on nous apprend «alors un plan c’est oui et c’est non à la fois… et puis ouverture » ? Vous avez déjà compris vous ? Pourquoi, si c’est ce qu’on pense, peut-on pas répondre très franchement OUI ou NON et puis c’est tout ! Bien sur qu’on peut penser que « peut-etre » mais finalement notre opinion se finalise sur quelque chose comme le oui ou le non. Bref j’ai jamais compris comment on pouvait se permettre de juger des devoirs de philo, il y en a qui veulent des références, des références… C’est bien beau les références mais comment on fait si on a nos propres opinions, bien sur qu’on adhère à des choses et à des idées, mais on arrive aussi à developper les siennes. Pourquoi un individu seule détiendrait la vérité ?

[Invité]

Édité

[Invité]

Un truc comme ça...

Voila ce que toute femme rêve, le Prince Charmant... aaah que ces mots sonnent bien à l'oreille...
Le Prince Charmant est malheureusement une perle rare, certaine femmes passent même toute leur vie à la quête de ce fameux Prince!
Il faut savoir que le Prince Charmant est en voie de disparition, et oui il est souvent la victime des sorcières, jalouses elles vont le transformer en crapaud pour ne pas qu'il aille rejoindre sa dulcinée. Dans ces cas la il y a un remède, un baiser au crapaud Prince lui redonnera forme humain, la probabilité de retrouver le crapaud que la sorcière aura soigneusement remi avec les siens est égale à 0 (à moins d'avoir énormément de chance).
Si toutefois la femme trouve son Prince Charmant, elle ne devra pas être jalouse sinon elle sera malheureuse. Oui, parce que le Prince Charmant (bien que toujours fidèle) est trés gentil et à énormément d'amis et.. d'amies! Ses amies sont vos ennemies, les femmes sont trés mesquines entre elles, surtout pour un homme.. Les autres seront trés fieres de leur Homme, sachant que leur Prince Charmant sera fidèle jusqu'au bout, elles deviendront vantardes et prendront la grosse tête, en bref, de vraies chipies!
Avec le Prince Charmant, pas de disputes, il dit toujours oui et est toujours daccord avec vous (même pour le programme TV), il vous dira que vous êtes belle même avec une robe sac poubelle et une culotte sur la tête.
Le Prince Charmant s'appelle Sam, parce qu'il ne boit jamais et c'est lui qui prend la route.
Le Prince Charmant n'est pas votre esclave, juste votre petit Toutou..
Le Prince Charmant n'est pas difficile, pas de prise de tête pour lui faire un cadeau puisque tout ce qui vient de vous lui fera plaisir (même votre vieille brosse à dents)
Le Prince Charmant est parfait et en parfaite harmonie avec celle qu'il aimera!

Enfin, le Prince Charmant est souvent trés ennuyeux...

[Ran-Neechan]

Innocen,ce, j'ai adoré, j'ai été émue...Même que je me suis reconnue.
Albicocca j'adore ta description du Prince Charmant parce qu'"au fond c'est trop ça

[Ran-Neechan]

Innocen,ce, j'ai adoré, j'ai été émue...Même que je me suis reconnue.
Albicocca j'adore ta description du Prince Charmant parce qu'"au fond c'est trop ça

[Ran-Neechan]

Bah voilà. C'est un truc que j'ai écrit y'a à peu près deux ans...
C'est pas une histoire, c'est du flash back autobiographique ( en fait vous comprendrez en lisant, c'est pas très commun comme écrit en fait j'en ai presque honte tellement il est...bizarrement construit

16.10.2006. Il est une heure de l’après-midi.
Banlieue parisienne.
Saint Denis ( 93).
12 rue Paul Langevin.
Un bâtiment près d’une piscine.
5 étages, des escaliers.
Sur ces marches d’escaliers, une pomme.
Cette pomme est mangée par une jeune fille.
Cette jeune fille se balance de gauche à droite, de haut en bas.

Elle pose sa pomme. Elle est complètement défoncée.
Elle sort une cigarette. Une feuille de classeur et son unique stylo.
Elle va vous raconter une petite histoire.

En quelques flash back.


09.01.1989, en soirée.
Banlieue parisienne.
Saint Denis (93).
Hôpital De Lafontaine.
Maternité.
Dans cette maternité, une chambre.
Dans cette chambre, une femme.
Une femme qui dort, attendant patiemment son mari.
Son mari est un peu plus loin, près des couveuses.
Dans ces couveuses, il y’en a une qu’il regarde avec attention.
Dans cette couveuse, dort un gros bébé.
Un bébé qui a failli mourir quelques heures plus tôt.
Le cordon était par deux fois enlacé autour de son cou.
Et ce père qui pensait : « encore une fille… ».


25.12.1995, un matin.
Banlieue parisienne.
Saint Denis (93).
31 rue de Lorraine.
Dans une cité de merde : un HLM de merde.
Des décorations de Noël et un sapin artificiel.
Une petite fille, près du sapin, devant la crèche.
Elle prie. Même qu’elle a vu la Vierge quelques mois plus tôt.
Elle demande à Dieu où est son frère.
Quand quelqu’un la tire violemment par le col.
C’est le père du bébé, avec quelques rides et cheveux gris en plus.
L’air plus méchant aussi.
On lit sur le visage de la petite fille une peur bleue.
Mais vous ne saurez pas la suite.
Refoulement, dit-on.

Eté 2000.
Lacanau Océan.
Un Camping. « Les fougères. »
Dans ce camping, une tente vers l’avant.
IL est 14h30, et sous cette tente, deux êtres s’accouplent.
Une fillette de douze ans, et un homme âgé de vingt et un ans.
L’entrejambe en sang. Et quelques gémissements.
Sans amour, passion ni même désir.

Novembre 2003
Saint Denis (93)
31 rue de Lorraine.
Une cité de merde
Un HLM.
Le même appartement que le Noël de la gamine.
Juste la disposition de certains meubles a changé.
Mais pas ce canapé.
Sur ce canapé, il y’a deux adolescents.
Un beau mélange de couleur.
C’est ici que tout commence.
C’est ici que le bébé se fait.
C’est dans le lit de ses parents que l’acte se termine.
Même si à la base, elle lui avait dit « non ».
Quelques temps plus tard, lé bébé s’en va.
Et la revoilà seule face à la vie.

03 Octobre 2004.
Paris (75)
Jardin des plantes.
Des marches d’escaliers.
Encore deux adolescents.
Un mec avec les cheveux blonds et longs.
Une jeune fille, avec les cheveux châtains et longs.
Des passants. Ils se moquent des passants.
Puis ils s’embrassent tendrement.
C’est parti pour un an.
Un an…

Juillet 2005.
Enghien (95).
Un studio.
La fille aux cheveux châtains.
Elle pleure.
Le téléphone collé contre son oreille.
« Ne me laisse pas, je t’en supplie, je ne m’en sortirai pas sans toi. ».
Un écho.
« Oublie moi Steffie, je ne t’aime plus ».

Juillet 2005
Enghien (95)
Une épicerie.
Dans cette épicerie, une arrière boutique.
L’ado aux cheveux châtains, se fait tripoter les seins par un gros salaud.

[Ran-Neechan]

Ca parle toujours de la même fille hein je précuise parce qu'en relisant on comprend ptet pas xD

[[Innocence]]

Ca parle toujours de la même fille hein je précuise parce qu'en relisant on comprend ptet pas xD

Si, si, on comprend ! J'aime bien, l'idée des flash back est pas mal mais j'aurai aimé un peu plus de détails peut-etre et surtout je reste un peu sur ma faim à la fin (désolé pour le jeu de mot pourri, non voulu).
Enfin sinon tu fais toujours aussi bien passé les sentiments a travers tes écrits.

[Invité]

Osaki j'aime toujours, même si la façon dont c'est écrit est particulière, je trouve que c'est ça qui fait le "truc"

[[Innocence]]

Oh et Albiccoca, j'ai adoré ta description du Prince Charmant !

J'ai continué mon histoire mais j'ai un peu de mal a la formuler comme je le voudrais, donc ça devra attendre un peu...

[Salakis]

Albicocca, ton premier texte "Frigo, boulot, dodo" est excellent ! C'est vraiment le genre de récits que j'aime. Tu devrais continuer l'histoire, ça vaudrait le coup !

[Ran-Neechan]

[Innocence]; bah j'ai une suite quand même
Encore deux parties de flash back
Et merci Albicocca

[Invité]

Albicocca, ton premier texte "Frigo, boulot, dodo" est excellent ! C'est vraiment le genre de récits que j'aime. Tu devrais continuer l'histoire, ça vaudrait le coup !

Oui j'y ai pensé, mais j'ai peur de tout gacher lol, c'est bête je sais! Si l'inspiration me vient alors j'essairai

[Bagheera]

Blitzkreig_Bop > Y a une faute à corriger là si tu veux "Une pluie sanguinaire martèle mon toit et pénètrent les ténèbres", c'est "pénètre" vu que le sujet est "une pluie sanguinaire". En tout cas j'aime bien comment tu écris, on sent une certaine tension, un suspense, une violence sous-jacente...

J'ai bien aimé les textes d'Osaki et d'Albicocca aussi . Et le texte de Mateeld était bien écrit, je l'ai trouvé intrigant pour ma part et c'était agréable de le relire

Je trouve que c'est une bonne idée de topic, je repasserai !

[Invité]

Édité

[Contenu sponsorisé]